Contribution éthique – découvrez le premier écrit de la réflexion éthique

Après plusieurs mois de recherches et de travaux, découvrez la première contribution du Groupe de réflexion éthique associatif autour du thème du consentement envers le public que nous accompagnons.   

Ce groupe de réflexion éthique associatif est constitué de plusieurs associations en Loire-Atlantique dont l’Adapei de Loire-Atlantique.. 

 

En quoi consiste cette contribution éthique ?   

Comme un support à la réflexion, cette contribution éthique traite le rapport du consentement pour les situations du quotidien d’une personne adulte, car des dilemmes éthiques existent aussi au travers du quotidien.  

Cette contribution peut aider des professionnels et des familles de primes abords. Elle reste un outil dont chacun peut se saisir.  

 

Malgré le choix d’une situation, la réflexion sur le consentement reste très singulière, dépendante de chaque personne, chaque situation, chaque action à un moment précis. Cette réflexion se veut pratique et collective. Le groupe de réflexion éthique s’est appuyé sur un cadre de référence qui permet de construire, dépassionner et étudier les situations.  

Dans la construction de cette réflexion, cette contribution a été écrite à travers l’exploration des quatre principes de l’éthique biomédicale de Beauchamp et Childress qui sont :

  • Le respect de l’autonomie, 

  • La non-malfaisance,

  • La bienfaisance,

  • La justice. 

 

« Le groupe de réflexion éthique associatif a choisi un cadre fondateur dans le champ de l’éthique et notamment celui de lÉthique « biomédicale », tel que préconisé par lEspace de Réflexion Ethique des Pays de Loire (1). » 

 

 

Quel bilan pour cette première contribution éthique ?  

 L’examen de cette situation a permis de poser les principes suivants :   

  • L’évaluation des besoins, des capacités, des compétences à travers des outils référencés et communs aux parties prenantes (entourage – familles),  
  • La connaissance des capacités, des compétences, des envies, des besoins, des limites de la personne accompagnée,  
  • L’évaluation des capacités de communication de la personne (expression et compréhension), 
  • La connaissance du fonctionnement de la personne accompagnée,   
  • L’apprentissage vers l’autodétermination avec essais et erreurs.  

 

Il nous semble important de partir du principe que la personne est capable. Il nous faut croire en la personne, oublier nos représentations. Aider la personne à tirer le meilleur d’elle-même, même si elle n’en a pas conscience.  

Nous vous conseillons de prendre un temps de lecture pour cette contribution éthique, qui vous permettra d’enrichir votre réflexion sur le consentement des personnes que nous accompagnons et de vous ouvrir à d’autres réflexions, dans un but d’amélioration de notre pratique de travail et ainsi, une amélioration de l’accompagnement des personnes en situation de handicap.  

 

Pour lire l’intégralité de cette contribution éthique, cliquez sur le lien suivant : Contribution n° 1 du groupe de Réflexion Ethique Associatif – Le consentement au quotidien